* * * * “...UNE OPERA SUPERBE EXCELLENT
Miguel Russo, Veintitrés, magazine

 "Très bon…. Il nous transporte comme dans une tunnel du temps au moment et au lieu"
Jorge Belaunzarán, TXT magazine

 “...un film excellent. Le cinéma argentin n´avait pas oser le faire”
Fernando Martín Peña,
Revista Rolling Stone, magazine

“Trelew… écrasant.”
Lilian Ivachow, Revista El Amante
 
 “...la cohésion narrative d´un thriller politique avec le style de Costa Gravas”
Diego Lerer, Clarín
 
“GIGANTESQUE...la force du plus vivide
et acharne récit d´aventures"
Horacio Bernades, Página /12, journal

 

Trelew

Les fusillages

Les fusillages à Trelew ont marqué non seulement un point de rupture de l’État qui accentue sa politique terroriste en passant à l’élimination physique massive des opposants politiques, mais aussi, l’engagement politique populaire et massif qui a trouve chez les « héros de Trelew » un exemple à suivre. Les noms de militants fusillés deviennent leur étendard et leur devise.

Prisonniers dans l´ aéroport de Trelew. Photo ultérieur à la rendition et á la remise d´ armesPrisonniers dans l´ aéroport de Trelew. Photo ultérieur à la rendition et á la remise d´ armes

Dictateur Agustín LanusseDictateur Agustín Lanusse

Cet esprit a été présent lors de croissantes mobilisations des travailleurs, des ouvriers, et des intellectuels, qui sont canalisées politiquement par les péronistes et par différentes expressions de la gauche révolutionnaire et du syndicalisme classiste, exprimé par Agustín Tosco parmi d’autres, qui avait – lui aussi - souffert la persécution et la prison avec les fusillés à Trelew.

Cet essor des masses détermine l´épuisement de la dictature de Lanusse et le postérieur appel aux élections du 11 mars 1973 remportées par Cámpora et suivies du retour de Juan Domingo Perón au pays.

Le 25 mai 1973, quand Lanusse et les forces Armées quittent le gouvernement, des pancartes et des drapeaux portant le visage des morts à Trelew accompagnent la foule qui marche vers les prisons pour en arracher ses prisonniers politiques.

 

Le 25 août  1972: La police  montée  réprime à Buenos Aires les veillées funèbres des morts à TrelewLe 25 août 1972: La police montée réprime à Buenos Aires les veillées funèbres des morts à Trelew

Entre-temps, dans les cellules de la prison de Devoto, les trois survivants du massacre de Trelew : María Antonia Berger, <st1:personname productid="Ricardo Haidar" w:st="on">Ricardo Haidar</st1:personname> et Alberto Camps, racontent la vérité sur « La Patrie fusillée » au poète Paco Urondo.

Pourtant, l’appareil répressif n’est pas démantelé.

Des bandes paramilitaires continuent leur attaque au mouvement syndical, politique et culturel. Le processus culmine par la signature du décret qui ordonne l’annihilation de la guérilla aux forces Armées, suivie après par la dictature militaire initié le 24 mars 1976.

La réponse terroriste de l’État face à la mobilisation populaire, atteint à ce point-ci sa plus forte expression. L’implémentation de plus de 500 centres clandestins de détention, de torture et d’annihilation, 30.000 « desaparecidos » (nom donné a ceux qui sont disparus lors du Processus de Réorganisation Nationale Argentin), près de 12.000 prisonniers politiques, et des milliers d’exilés…

Les pièges du pouvoir militaire

Personne de l´Armée dela Mer a accepté de donner une interview en référence aux faits du 22 août 1972 à la Base Amiral Zar.

Néanmoins, le fait de que la censure était absolu et que les journalistes persécutés, tout le peuple a suspecté des le commencement qui étaient les coupables de la boucherie de Trelew.

L´Armée de la Mer de la République Argentine a refusé de faire une déclaration officielle pour le film.

La dictature militaires, sous le General Lanusse a répondue avec le tuerie de 16 prisonniers la fuite de la prison de Rawson et l´appui populaire aux mouvements révolutionnais.

Jusqu´ aujourd´hui, il n´a pas eu du jugement ou condamnation pour les faits ici racontés.

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Réalisateur: Mariana Arruti